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Biographie

Diplômée en chant jazz au conservatoire de Vienne, maitrise en droit. Enfance à Moscou dans les années 80, Genève et à Vienne, période intermédiaire aux États Unis, Valérie oscille maintenant entre les univers de Saint Privat, un petit village dans l´Hérault, et Vienne (en Autriche). Depuis 2004, elle a sorti 6 albums et elle a participé en tant que guest sur plusieurs albums, notamment celui de Jools Holland, pianiste reconnu en Angleterre. Ses deux albums en solo sont sortis chez Sony Music Autriche et deux albums sous le projet « Saint Privat » ont été réalisés par « Waldeck » et connaissent un succes mondial.

A l’âge de 14 ans, Valerie signe son premier contrat de disque, à 18 ans elle rentre au conservatoire de Vienne section chant jazz. Depuis sa première apparition dans le hitparade en 1998 (avec son premier band C-BRA), elle y apparait régulièrement, la dernière fois pendant 29 semaines avec le hit “Regen”. Femme de scène, les concerts sont son élixir de vie.

Amadeus Austrian Music Award « Découverte de l’année » avec le groupe Saint Privat, 2005 Amadeus Austrian Music Award « Chanson de l’année »  (« Mädchen »), 2008

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Biographie

Version longue

Née en Autriche et longs séjours en Russie, en France, en Suisse et aux Etats-Unis pour suivre le périple de ses parents, Valérie découvre peu à peu ses dispositions pour la musique et le chant. D’un pays à l’autre, tout en apprenant les langues avec une facilité surprenante, c’est dans un univers studieux et créatif que la musique prend une place considérable dans la vie de Valérie.

À 14 ans, c’est le baptême du feu avec l’enregistrement de son premier single, Baby in my Bed, puis suivent deux autres dont le titre d’ouverture est en français : L’amour existe…

Dans les années 90, les groupes musicaux de « boys » et surtout de « girls » deviennent des « bands » qui chantent, qui dansent et règnent sur l’industrie du disque. L’Autriche a bien sûr besoin de son « band » à elle ; on cherche donc quatre filles. On en trouve trois, parfaitement dans le moule, mais il manque encore quelqu’un pour donner au groupe une autre note… (plus fraiche, avec la capacité de répondre à un journaliste sans glousser, ni sautiller sur elle-même.)

Le groupe s’appelle C-BRA, les quatre filles ont du succès, et la pop est bonne. Rien à redire là dessus. Valérie fait même la rencontre de David Bronner, compositeur et arrangeur. L’ère du « girls band » se termine, la page se tourne, Valérie gardera en tête les foules de 20 000 personnes, les fans et surtout David Bronner qui deviendra une pièce maitresse de sa carrière.

En 2003, Valérie entame une nouvelle production : « Saint Privat » (Le nom d’un adorable petit village de la France méridionale où Valérie a choisit de vivre.) en collaboration avec le DJ Klaus Waldeck. Deux albums (Riviera , en 2004, et Superflu, en 2006) de style rétro-chic-électro sont salués par la presse et lui apporteront un succès mondial.

Pas de carrière sans un peu de scandale…

Quand Valérie sort l’album Picknick, le single Mädchen (Les filles) hérisse l’Autriche, car il s’agit d’une satire au vinaigre dédiée au sexisme et à la misogynie. Valérie prend une cuirasse pour se défendre, car il s’agit tout simplement de pointer du doigt le mythe antique d’Hélène et de la guerre de Troie. En gros, Mädchen raconte que les hommes sont prêts à tout pour l’amour des femmes,  (moins à « tout » qu’à « n’importe quoi. ») Notons tout de même que les femmes en prennent aussi pour leur grade.

Le plus consensuel Regen, réconcilie tout le monde et s’installe dans le « Top Ten » autrichien pendant plusieurs semaines. Et bien que boycottée par les radios, la recette au vinaigre de Mädchen fait carrément gagner un prix à Valérie lors de l’Amadeus Music Award, pour la catégorie du meilleur single.

L’album Ich Bin du Bist en 14 chansons ne rencontre aucun écueil, ni de concept, ni de mode d’emploi « pour une vie meilleure » ni le fatal quartet : JeuneJolieSexyIntelligente. On y trouve du voyage, de la rêverie, de la poésie en plusieurs langues poétiquement maitrisées.

En 2013, sort l’opus Les nuits blanches, félicitée par la presse allemande. Même élégance, avec une musicalité encore diversifiée. On délecte la sensualité du travail nocturne, des moments esseulés du décalage horaire. C’est la Valérie de Vienne et de Moscou qui invoque le sommeil à tout prix, un florilège multiculturel intelligent,

…comme toujours !

Caroline Jeannin

Valerie Sajdik fotografiert im Studio Mischa Nawrata am 23. Dezember 2009;

ALBUMS:

SAINT PRIVAT:
avec Klaus Waldeck
Riviera (Dope Noir, 2004)
Superflu (Dope Noir 2007)
3ieme album prévu juin 2023!!

En SOLO:
Picknick (Sony Music, 2007) avec David Bronner
Ich bin du bist (Sony Music, 2010) avec David Bronner
Les nuits blanches (Fledermaus records, 2013) avec Samuel Devauchelle, Clemens Wenger, Raphael Preuschl.

En DUO:
avec le pianiste Cédric Chauveau: Funambule (Fledermaus Records, 2021)

En GUEST albums avec les artistes:
Jools Holland
Cafe Drechsler
Mauracher

RECOMPENSES:

  • Le prix Amadeus Austrian Music Award consacre VALERIE « Découverte de l’année » pour le groupe Saint Privat.
  • En 2008, le prix Amadeus Austrian Music Award décerne le prix « Chanson de l’année » pour Mädchen.
  • En 2013, représentant l´Autriche, Valerie est sélectionnée parmis les finalistes des 7èmes Jeux de la Francophonie, retransmis en direct de l´Opéra de Nice sur TV5 Monde (5o millions de téléspectateurs)

Très intime avec le cœur de Vienne, VALERIE anime des soirées musicales, « Valeries Salon », en compagnie d’artistes de renom issus de monde entier.

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